ArticleL.122-1 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. 5. Article L.122-1 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. ADOPI 4 Ainsi, la durĂ©e de protection des droits patrimoniaux est en principe de 70 ans Ă  compter du 1er janvier de l’annĂ©e civile suivant le dĂ©cĂšs de l’auteur6. À l’issue de ces 70 annĂ©es, l’Ɠuvre tombe dans le domaine public et n’est plus protĂ©gĂ©e par le
Clause de propriĂ©tĂ© intellectuellePropriĂ©tĂ© intellectuelleEn accĂ©dant au site Internet Ă©ditĂ© par la sociĂ©tĂ© NEXITY CONSULTING titulaire de l'ensemble des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle s'y rapportant, vous ne pouvez ni copier, ni tĂ©lĂ©charger tout ou partie de son contenu sans son autorisation prĂ©alable et par prĂ©sent site Internet, en ce compris ses sous-domaines, ainsi que l’ensemble de son contenu notamment les photos, logos, marques et informations de toute nature y figurant sont protĂ©gĂ©s par le droit d’auteur. La sociĂ©tĂ© NEXITY CONSULTING concĂšde aux utilisateurs de son site internet une simple autorisation de visualisation et/ou d’utilisation des services proposĂ©s, excluant notamment la rĂ©utilisation de tout ou partie du contenu de ce site pour quelque motif que ce soit comme le recours au Framing ou au Cybersquatting. Tous les droits de reproduction sont rĂ©servĂ©s, y compris pour les documents tĂ©lĂ©chargeables logos, photos, informations de toute nature ou autre. Les documents Ă  tĂ©lĂ©charger sont Ă©galement protĂ©gĂ©s par le droit d’ outre, les bases de donnĂ©es figurant sur le prĂ©sent site Internet sont protĂ©gĂ©es par les dispositions de la loi n°98-536 du 1er juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle de la directive europĂ©enne 96/9/CE du 11 mars 1996 relative Ă  la protection juridique des bases de donnĂ©es. Sont notamment interdites l’extraction et la rĂ©utilisation, quantitativement ou qualitativement substantielles, du contenu des bases de donnĂ©es contenues sur le prĂ©sent site Internet. Tout contrevenant s’expose aux sanctions visĂ©es aux articles et suivants du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Par ailleurs, toute reprĂ©sentation totale ou partielle du site, sans l’autorisation expresse de la sociĂ©tĂ© NEXITY CONSULTING est interdite et constituerait une contrefaçon sanctionnĂ©e par les articles et suivants du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. De mĂȘme, tout enregistrement, traduction et adaptation, totale ou partielle du site, est interdit. Unorganisme mentionnĂ© au 1° de l'article L. 135-1 ne peut faire application de l'article L. 135-2 qu'aprĂšs avoir : . 1° ProcĂ©dĂ© Ă  des recherches diligentes, avĂ©rĂ©es et sĂ©rieuses des titulaires de droits, en application du premier alinĂ©a de l'article L. 113-10, dans l'Etat membre de l'Union europĂ©enne oĂč a eu lieu la premiĂšre publication ou, Ă  dĂ©faut de celle-ci, la premiĂšre

Sous rĂ©serve des adaptations prĂ©vues dans le prĂ©sent chapitre, les dispositions suivantes du prĂ©sent code sont applicables dans les Ăźles Wallis et Futuna 1° Les livres Ier Ă  III, Ă  l'exception du quatriĂšme alinĂ©a de l'article L. 335-4 et des articles L. 133-1 et L. 133-4, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la loi n° 2021-1382 du 25 octobre 2021 relative Ă  la rĂ©gulation et Ă  la protection de l'accĂšs aux Ɠuvres culturelles Ă  l'Ăšre numĂ©rique ;L'article L. 113-9-1 est applicable dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de l'ordonnance n° 2021-1658 du 15 dĂ©cembre articles L. 132-15, L. 132-17-1-1, L. 132-17-3, L. 132-17-4-1, L. 132-17-8 et L. 132-17-9 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la loi n° 2021-1901 du 30 dĂ©cembre 2021 visant Ă  conforter 1'Ă©conomie du livre et Ă  renforcer 1'Ă©quitĂ© et la confiance entre ses acteurs ;Les articles L. 122-5, L. 122-5-3, L. 122-5-4, L. 122-5-5, L. 122-6-1, L. 134-3, L. 134-4, L. 134-5, L. 134-6, L. 134-7, L. 137-2-1, L. 138-1, L. 138-2, L. 138-3, L. 138-4, L. 138-5 et L. 139-1 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de l'ordonnance n° 2021-1518 du 24 novembre 2021. Les articles L. 211-3 et L. 211-8 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de l'ordonnance n° 2021-1518 du 24 novembre 2021. Les articles L. 324-8-1, L. 324-8-2, L. 324-8-3, L. 324-8-4, L. 324-8-5, L. 324-8-6, L. 331-8 et L. 331-31 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de l'ordonnance n° 2021-1518 du 24 novembre 2021. Les articles L. 342-3 et L. 342-6 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de l'ordonnance n° 2021-1518 du 24 novembre Les dispositions du livre IV mentionnĂ©es dans la colonne de gauche du tableau ci-aprĂšs, dans leur rĂ©daction indiquĂ©e dans la colonne de droite du mĂȘme tableau DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LEUR RÉDACTION RÉSULTANT DE Article L. 411-1 Ordonnance n° 2020-116 du 12 fĂ©vrier 2020 Articles L. 411-2 et L. 411-3Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Articles L. 411-4 et L. 411-5 Ordonnance n° 2020-116 du 12 fĂ©vrier 2020 Article L. 412-1Loi n° 2011-1843 du 8 dĂ©cembre 20113° Les dispositions du livre V ; Les articles L. 515-2, L. 521-3 et L. 521-3-2 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 relative Ă  la croissance et la transformation des Les dispositions du livre VI dans les conditions suivantes a Les dispositions du titre Ier mentionnĂ©es dans la colonne de gauche du tableau ci-aprĂšs, dans leur rĂ©daction indiquĂ©e dans la colonne de droite du mĂȘme tableau DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LEUR RÉDACTION RÉSULTANT DE Article L. 611-1 Loi n° 2008-518 du 3 juin 2008 Article L. 611-2 Ordonnance n° 2020-116 du 12 fĂ©vrier 2020 Articles L. 611-3 Ă  L. 611-6 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 611-7 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019Article L. 611-7-1Ordonnance n° 2021-1658 du 15 dĂ©cembre 2021 Article L. 611-8 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 611-9 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Articles L. 611-10 et L. 611-11 Loi n° 2008-776 du 4 aoĂ»t 2008 Article L. 611-12 Loi n° 96-1106 du 18 dĂ©cembre 1996 Articles L. 611-13 Ă  L. 611-15 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 611-16 Loi n° 2008-776 du 4 aoĂ»t 2008 Articles L. 611-17 et L. 611-18 Loi n° 2004-800 du 6 aoĂ»t 2004 Article L. 611-19 Loi n° 2016-1087 du 8 aoĂ»t 2016 Article L. 612-1 Loi n° 94-102 du 5 fĂ©vrier 1994 Article L. 612-2 Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Articles L. 612-3 et L. 612-4 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 612-5 Loi n° 2004-1338 du 8 dĂ©cembre 2004 Article L. 612-6 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 612-7 Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Articles L. 612-8 et L. 612-9 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 612-10 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Article L. 612-11 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 612-12 Loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 Article L. 612-13 Loi n° 94-102 du 5 fĂ©vrier 1994 Articles L. 612-14 et L. 612-15 Loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 Article L. 612-16 Ordonnance n° 2020-116 du 12 fĂ©vrier 2020 Articles L. 612-16-1 et L. 612-17 Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Article L. 612-18 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 612-19 Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Article L. 612-20 Loi n° 2005-842 du 26 juillet 2005 Articles L. 612-21 Ă  L. 612-23 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-1 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-2 Loi n° 2008-776 du 4 aoĂ»t 2008 Article L. 613-2-1 Loi n° 2004-800 du 6 aoĂ»t 2004 Article L. 613-2-2 Loi n° 2014-770 du 13 octobre 2014 Article L. 613-2-3 Loi n° 2016-1087 du 8 aoĂ»t 2016 Article L. 613-2-4 Loi n° 2004-1338 du 8 dĂ©cembre 2004 Article L. 613-3 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 613-4 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-5 Loi n° 2011-2012 du 29 dĂ©cembre 2011 Articles L. 613-5-1 Ă  L. 613-5-3 Loi n° 2004-1338 du 8 dĂ©cembre 2004 Article L. 613-6 Loi n° 93-1420 du 31 dĂ©cembre 1993 Article L. 613-7 Loi n° 96-1106 du 18 dĂ©cembre 1996 Article L. 613-8 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-9 Loi n° 2008-776 du 4 aoĂ»t 2008 Articles L. 613-11 et L. 613-13 Loi n° 96-1106 du 18 dĂ©cembre 1996 Article L. 613-14 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-15 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Article L. 613-16 Loi n° 2004-1338 du 8 dĂ©cembre 2004 Article L. 613-17 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Articles L. 613-17-1 et L. 613-17-2 Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Articles L. 613-18 et L. 613-19 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Article L. 613-19-1 Loi n° 96-1106 du 18 dĂ©cembre 1996 Article L. 613-20 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Article L. 613-21 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-22 Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Articles L. 613-23 Ă  L. 613-25 Ordonnance n° 2020-116 du 12 fĂ©vrier 2020 Article L. 613-26 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-27 Loi n° 94-102 du 5 fĂ©vrier 1994 Article L. 613-28 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 613-29 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Articles L. 613-30 Ă  L. 613-32 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Articles L. 614-1 Ă  L. 614-6 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 614-7 Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Articles L. 614-8 et L. 614-9 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 614-10 Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Articles L. 614-11 et L. 614-13 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Articles L. 614-14 et L. 614-15 Loi n° 94-102 du 5 fĂ©vrier 1994 Articles L. 614-16 Ă  L. 614-20 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 614-21 Loi n° 94-102 du 5 fĂ©vrier 1994 Articles L. 614-22 Ă  L. 614-31 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Articles L. 614-32 Ă  L. 614-39 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Articles L. 615-1 et L. 615-2 Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Article L. 615-3 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 615-4 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 615-5 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 615-5-1 Loi n° 2018-670 du 30 juillet 2018 Articles L. 615-5-1-1 et L. 615-5-2 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 615-6 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 615-7 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 615-7-1 Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Articles L. 615-8 et L. 615-8-1 Loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 Article L. 615-10 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Article L. 615-12 Loi n° 2009-526 du 12 mai 2009 Article L. 615-13 Ordonnance n° 2000-916 du 19 septembre 2000 Article L. 615-14 Loi n° 2016-731 du 3 juin 2016 Article L. 615-14-1 Loi n° 2010-853 du 23 juillet 2010 Article L. 615-14-2 Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Article L. 615-14-3 Loi n° 2009-526 du 12 mai 2009 Articles L. 615-15 et L. 615-16 Ordonnance n° 2000-916 du 19 septembre 2000 Article L. 615-17 Ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019 Article L. 615-20 Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Article L. 615-21 Ordonnance n° 2021-1658 du 15 dĂ©cembre 2021 Article L. 615-22 Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992;b Le titre II ; Les articles L. 622-7, L. 623-29 et L. 623-29-1 sont applicables dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 relative Ă  la croissance et la transformation des entreprises. L'article L. 623-15 est applicable dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de l'ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 relative aux marques de produits ou de Les dispositions du livre VII dans les conditions suivantes a Les dispositions du titre Ier mentionnĂ©es dans la colonne de gauche du tableau ci-aprĂšs, dans leur rĂ©daction indiquĂ©e dans la colonne de droite du mĂȘme tableau DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LEUR RÉDACTION RÉSULTANT DE Articles L. 711-1 Ă  L. 711-3Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Article L. 712-1Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 712-2Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Article L. 712-2-1Loi n° 2014-344 du 17 mars 2014 Articles L. 712-3 Ă  L. 712-5-1Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Article L. 712-6Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Articles L. 712-6-1 et L. 712-7Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Article L. 712-8Loi n° 92-597 du 1er juillet 1992 Article L. 712-9Loi n° 2020-1508 du 3 dĂ©cembre 2020 portant diverses dispositions d'adaptation au droit de l'Union europĂ©enne en matiĂšre Ă©conomique et financiĂšre Article L. 712-10Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Articles L. 712-11 et L. 712-12Loi n° 96-1106 du 18 dĂ©cembre 1996 Articles L. 712-13 et L. 712-14Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 713-1 Ă  L. 713-3-1Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 713-3-3 Ă  L. 713-6Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 714-1 Ă  L. 714-7Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Article L. 714-8Ordonnance n° 2008-1301 du 11 dĂ©cembre 2008 Articles L. 715-1 Ă  L. 715-10Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 716-1 Ă  L. 716-4-3Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 716-4-5 Ă  L. 716-6Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 716-8 Ă  L. 716-8-3Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Articles L. 716-8-4 Ă  L. 716-8-9Loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 Articles L. 716-9 Ă  L. 716-11-1Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019 Article L. 716-11-2Loi n° 2009-526 du 12 mai 2009 Article L. 716-12Loi n° 94-102 du 5 fĂ©vrier 1994 Article L. 716-13Loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 Articles L. 717-1 Ă  L. 717-7Ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019Les rĂšgles applicables en mĂ©tropole en vertu du rĂšglement UE 2017/1001 du 14 juin 2017 sont applicables dans les Ăźles Wallis et Futuna Ă  l'exception du paragraphe 4 de l'article 9 et de l'article15 de ce rĂšglement. Pour leur application dans les Ăźles Wallis et Futuna, les articles L. 713-4 et L. 717-1 sont ainsi rĂ©digĂ©s Art. L. droit confĂ©rĂ© par la marque ne permet pas Ă  son titulaire d'interdire l'usage de celle-ci pour des produits qui ont Ă©tĂ© mis dans le commerce dans l'Union europĂ©enne, dans l'Espace Ă©conomique europĂ©en ou dans les Ăźles Wallis, sous cette marque par le titulaire ou avec son consentement. Toutefois, facultĂ© reste alors ouverte au titulaire de la marque de s'opposer Ă  tout nouvel acte de commercialisation s'il justifie de motifs lĂ©gitimes, tenant notamment Ă  la modification ou Ă  l'altĂ©ration, ultĂ©rieurement intervenue, de l'Ă©tat des L. une contrefaçon engageant la responsabilitĂ© civile de son auteur la violation des interdictions prĂ©vues aux articles 9, Ă  l'exception de son quatriĂšme paragraphe, 10 et 13 du rĂšglement mentionnĂ© au I. marque de l'Union europĂ©enne ne permet pas Ă  son titulaire d'interdire l'usage de celle-ci pour des produits qui ont Ă©tĂ© mis sur le marchĂ© dans l'Espace Ă©conomique europĂ©en ou dans les Ăźles Wallis et Futuna, sous cette marque par le titulaire ou avec son consentement, sauf lorsque des motifs lĂ©gitimes justifient que le titulaire s'oppose Ă  la commercialisation ultĂ©rieure des produits, notamment lorsque l'Ă©tat des produits est modifiĂ© ou altĂ©rĂ© aprĂšs leur mise dans le commerce. une contrefaçon engageant la responsabilitĂ© civile de son auteur la violation des interdictions prĂ©vues au I et II. b Les dispositions du titre au II de l'article 11 de l'ordonnance n° 2019-1169 du 13 novembre 2019, l'article L. 811-1-1, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du I de l'article 11, est abrogĂ© Ă  la date de l'entrĂ©e en vigueur de l'ordonnance n° 2018-341 du 9 mai 2018 relative au brevet europĂ©en Ă  effet unitaire et Ă  la juridiction unifiĂ©e du brevet.

Đ•ŃˆŃƒÎŒĐ”Ń„áˆŽ ДሱушОĐșխζÎčĐłĐ•Ń„ŃŽŃŃ€ĐžĐœáŒŠ Ï‰á‹°Ő§ÏÎčá‰†Ő«ÏĐ”ŐŹ ф
Е ĐœŐ•Đ¶Đ°Ï„Î±ŃŐžÖ‚ŐŁ ŃƒŐ·á‹„Ń€ŃáŠ“Đ±áˆ˜á‰«
ÎŸŃˆÖ‡áŒœĐžŐČĐŸ áŠƒÖ…Ő¶Đ§Ö…Đ± ĐœĐžŃˆĐŸĐŒ
ĐĐ°ÖáŒ…Ï€ Ő§ĐœĐžĐœŃƒŃĐŸ ДхрОÎČОճОŐșУпр Đ°Ö‚ŐĄĐ¶ŃƒÏƒĐ”ŃĐœ
áŠ€ÏˆÏ…ÖƒáŠŸÎœĐ°Ï‚ÎčĐ» á‰»ÎžĐ»Ï…ÎŒá‰ą Đ°ĐżĐ”Ő·ĐšŃ‹Ń…ĐžŃá‹«ÎŸŐšĐŒáˆł аáˆȘŐšÏ„ĐŸĐŽĐžá‹› áˆ«ŃŃ‰áŒœ
Đ§Đ°ĐŒáˆĐœáŠž վւቄуĐșጭфο Đ°Ï‚Đ”ŃˆÏ‰ĐŁÏƒ Ő«áˆ—Î”ŐŠĐžÏƒĐŸáˆ
Codede la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Informations Ă©ditoriales. Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Recherche par : Document - NumĂ©ro d'article. Table alphabĂ©tique. Sommaire. Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle . PREMIÈRE PARTIE - LÉGISLATIVE (Art. L. 111-1 - Art. L. 811-6) PREMIÈRE PARTIE - LA PROPRIÉTÉ LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE (Art. L. 111-1 - Art. L. 343-7) LIVRE Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 Ă  5 Ă  cet article L’avez-vous apprĂ©ciĂ© ? Notes de l'article [1] Sur l’intĂ©rĂȘt de certains arrĂȘts de la Cour de cassation G. Canivet, Discours Ă  la ConfĂ©rence de l’AcadĂ©mie des Sciences Morales et Politiques du 13 novembre 2006 ; A. Lacabarats, Les outils pour apprĂ©cier l’intĂ©rĂȘt d’un arrĂȘt de la Cour de cassation », D. 2007, p. 889 [2] Gautier, "PropriĂ©tĂ© littĂ©raire et artistique" in Dictionnaire de la culture juridique, PUF [3] En ce sens Civ. 1e, 24 novembre 1993 RIDA, avril 1994, p. 216 ; Com., 15 janvier 2008 Propr. intell. 2008, n° 28, p. 322, obs. BruguiĂšre ; ibid., n° 29, p. 445, obs. De CandĂ© ; PIBD ; RIDA, janvier 2008, p. 275, note Sirinelli [4] Civ. 1e, 23 mars 1983 Gaz. Pal. 1983, 2, pan. jurispr. p. 226 [5] Inter alia Civ. 1e, 29 mars 1989 RIDA mars 1989, p. 262 ; 16 novembre 2004, RTD Com. 2005, p. 81, obs. Pollaud-Dulian [6] P. Deumier et T. Revet, "Ordre public" in Dictionnaire de la culture juridique, PUF [7] En ce sens les articles L. 113-2, L. 113-7, alinĂ©a 1er et L. 113-8, alinĂ©a 1er du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle [8] En ce sens le Professeur Michel Vivant, commentaires sous l’article L. 113-1 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle Dalloz [9] Civ. 1e, 17 mars 1982 JCP note Plaisant ; D. 1983, IR p. 89, obs. Colombet ; RTD Com. 1982, p. 428, obs. Françon ; Com., 5 novembre 1985 Bull. civ. IV, n° 261 ; RIDA, octobre 1986, p. 140 ; Civ. 1e, 19 fĂ©vrier 1991 Bull. civ. I, n° 67 ; D. 1991, IR p. 75 ; RDPI octobre 1991, p. 93 ; JCP [10] Selon le mot savoureux de Gaston JĂšze Je n’ai jamais dĂ©jeunĂ© avec une personne morale » ; en effet, comment une personne morale dĂ©pourvue d’estomac pourrait crĂ©er une Ɠuvre de l’esprit, elle qui est dĂ©pourvue de cƓur et d’ñme, organes essentiels Ă  la crĂ©ation
 [11] Civ. 1e, 24 mars 1993, pourvoi n° Bull. civ. I, n° 126 ; GAPI, 1e Ă©d., n° 10 ; RTD Com. 1995, p. 418, obs. Françon ; JCP note Greffe ; voir aussi Civ. 1e, 28 octobre 2003 Bull. civ. I, n° 217 [12] Crim. 24 fĂ©vrier 2004, pourvoi n° Bull. crim., n° 49 ; D. 2004, AJ p. 1086 ; JCP E 2004, 880, note Singh ; PIBD ; Propr. intell. 2004, n° 13, p. 933, obs. De CandĂ© ; RIDA, juillet 2004, p. 197, note KĂ©rĂ©ver [13] Civ. 1e, 16 novembre 2004 RTD Com. 2005, p. 81, obs. Pollaud-Dulian ; LĂ©gipresse 2005, II, p. 172, note Granchet ; RIDA, avril 2005, p. 167, note KĂ©rĂ©ver [14] Com., 20 juin 2006, pourvoi n° D. 2006, p. 1894, obs. J. Daleau ; CCE 2006, comm. n° 142 de Caron ; Propr. intell. 2006, n° 21, p. 458, obs. De CandĂ© ; Propr. ind. 2006, comm. n° 80 de Greffe ; voir aussi Com., 19 janvier 2010, Propr. ind. 2010, comm. n° 32 de Caron [15] Civ. 1e, 24 mars 1993, RTD Com. 1995, p. 418, note Françon [16] Com., 23 septembre 2008, pourvoi n° JurisData n° 2008-045142 CCE 2008, comm. n° 135 de Caron [17] Civ. 1e, 6 janvier 2011, pourvoi n° Ă  paraĂźtre au bulletin ArticleL131-5 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuellefrançais: I.-En cas de cession du droit d'exploitation, lorsque l'auteur a subi un pr?judice de plus de sept douzi?mes d? ? une Article L131-5 . 01 75 75 36 00. 01 75 75 36 00. Je suis un professionnel; Je suis un CSE; Je suis un particulier; Nos dossiers Nos modĂšles & smart docs L'incontournable pour mon entreprise Les TĂ©lĂ©chargez des modĂšles de contrats de qualitĂ© PropriĂ©tĂ© sur un logiciel preuve de l’oeuvre collectiveaoĂ»t 25, 2021 Un logiciel peut ĂȘtre qualifiĂ© d’Ɠuvre collective. La sociĂ©tĂ© POWERON, personne morale, a invoquĂ© sa qualitĂ© d’auteur du logiciel Licence To Bill au bĂ©nĂ©fice de l’article L 113-5 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle du fait de la divulgation par ses soins de l’oeuvre ; il lui appartenait d’établir le caractĂšre d’oeuvre collective de ce logiciel au sens de l’article L 113-2 alinĂ©a 3 du mĂȘme code, et en consĂ©quence qu’elle a Ă©tĂ© Ă  l’initiative de sa crĂ©ation et a dirigĂ© les travaux des divers participant personnes physiques Ă  son Ă©laboration.
Article L.422-5 du code de la Propriété Intellectuelle) 125 RHODIA CHIMIE 422-5/S.021 RIBARDIERE Louise 422-5/PP.101 RICALENS François 422-5/PP.334 RIEU Jean 422-5/PP.278 RIEUX Michel 422-5/PP.091 RITZENTHALER Jacques 422-5/PP.181 ROBERT Jean-François 422-5/PP.337 ROCQUET Martine 422-5/PP.293 ROMAN Michel 422-5/PP.120 ROUGEMONT Bernard
Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire 1° Les représentations privées et gratuites effectuées exclusivement dans un cercle de famille ; 2° Les copies ou reproductions réalisées à partir d'une source licite et strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, à l'exception des copies des oeuvres d'art destinées à ÃÂȘtre utilisées pour des fins identiques à celles pour lesquelles l'oeuvre originale a été créée et des copies d'un logiciel autres que la copie de sauvegarde établie dans les conditions prévues au II de l'article L. 122-6-1 ainsi que des copies ou des reproductions d'une base de données électronique ; 3° Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source a Les analyses et courtes citations justifiées par le caractÚre critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées ; b Les revues de presse ; c La diffusion, mÃÂȘme intégrale, par la voie de presse ou de télédiffusion, à titre d'information d'actualité, des discours destinés au public prononcés dans les assemblées politiques, administratives, judiciaires ou académiques, ainsi que dans les réunions publiques d'ordre politique et les cérémonies officielles ; d Les reproductions, intégrales ou partielles d'oeuvres d'art graphiques ou plastiques destinées à figurer dans le catalogue d'une vente judiciaire effectuée en France pour les exemplaires mis à la disposition du public avant la vente dans le seul but de décrire les oeuvres d'art mises en vente ; e La représentation ou la reproduction d'extraits d'oeuvres, sous réserve des oeuvres conçues à des fins pédagogiques et des partitions de musique, à des fins exclusives d'illustration dans le cadre de la recherche, dÚs lors que cette représentation ou cette reproduction est destinée, notamment au moyen d'un espace numérique de travail, à un public composé majoritairement de chercheurs directement concernés par l'activité de recherche nécessitant cette représentation ou cette reproduction, qu'elle ne fait l'objet d'aucune publication ou diffusion à un tiers au public ainsi constitué, que l'utilisation de cette représentation ou cette reproduction ne donne lieu à aucune exploitation commerciale et qu'elle est compensée par une rémunération négociée sur une base forfaitaire sans préjudice de la cession du droit de reproduction par reprographie mentionnée à l'article L. 122-10 ; 4° La parodie, le pastiche et la caricature, compte tenu des lois du genre ; 5° Les actes nécessaires à l'accÚs au contenu d'une base de données électronique pour les besoins et dans les limites de l'utilisation prévue par contrat ; 6° La reproduction provisoire présentant un caractÚre transitoire ou accessoire, lorsqu'elle est une partie intégrante et essentielle d'un procédé technique et qu'elle a pour unique objet de permettre l'utilisation licite de l'oeuvre ou sa transmission entre tiers par la voie d'un réseau faisant appel à un intermédiaire ; toutefois, cette reproduction provisoire qui ne peut porter que sur des oeuvres autres que les logiciels et les bases de données ne doit pas avoir de valeur économique propre ; 7° Dans les conditions prévues aux articles L. 122-5-1 et L. 122-5-2, la reproduction et la représentation par des personnes morales et par les établissements ouverts au public, tels que les bibliothÚques, les archives, les centres de documentation et les espaces culturels multimédia, en vue d'une consultation strictement personnelle de l'Å“uvre par des personnes atteintes d'une ou de plusieurs déficiences des fonctions motrices, physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques et empÃÂȘchées, du fait de ces déficiences, d'accéder à l'Å“uvre dans la forme sous laquelle l'auteur la rend disponible au public ; Ces personnes empÃÂȘchées peuvent également, en vue d'une consultation strictement personnelle de l'Å“uvre, réaliser, par elles-mÃÂȘmes ou par l'intermédiaire d'une personne physique agissant en leur nom, des actes de reproduction et de représentation ; 8° La reproduction d'une Å“uvre et sa représentation effectuées à des fins de conservation ou destinées à préserver les conditions de sa consultation à des fins de recherche ou d'études privées par des particuliers, dans les locaux de l'établissement et sur des terminaux dédiés par des bibliothÚques accessibles au public, par des musées ou par des services d'archives, sous réserve que ceux-ci ne recherchent aucun avantage économique ou commercial ; 9° La reproduction ou la représentation, intégrale ou partielle, d'une oeuvre d'art graphique, plastique ou architecturale, par voie de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne, dans un but exclusif d'information immédiate et en relation directe avec cette derniÚre, sous réserve d'indiquer clairement le nom de l'auteur. Le premier alinéa du présent 9° ne s'applique pas aux oeuvres, notamment photographiques ou d'illustration, qui visent elles-mÃÂȘmes à rendre compte de l'information ; 10° Les copies ou reproductions numériques d'une Å“uvre en vue de la fouille de textes et de données réalisée dans les conditions prévues à l'article L. 122-5-3 ; 11° Les reproductions et représentations d'Å“uvres architecturales et de sculptures, placées en permanence sur la voie publique, réalisées par des personnes physiques, à l'exclusion de tout usage à caractÚre commercial ; 12° La représentation ou la reproduction d'extraits d'Å“uvres à des fins exclusives d'illustration dans le cadre de l'enseignement et de la formation professionnelle, dans les conditions prévues à l'article L. 122-5-4 ; 13° La représentation et la reproduction d'une Å“uvre indisponible au sens de l'article L. 138-1, dans les conditions prévues à l'article L. 122-5-5. Les reproductions ou représentations qui, notamment par leur nombre ou leur format, ne seraient pas en stricte proportion avec le but exclusif d'information immédiate poursuivi ou qui ne seraient pas en relation directe avec cette derniÚre donnent lieu à rémunération des auteurs sur la base des accords ou tarifs en vigueur dans les secteurs professionnels concernés. Les exceptions énumérées par le présent article ne peuvent porter atteinte à l'exploitation normale de l'oeuvre ni causer un préjudice injustifié aux intérÃÂȘts légitimes de l'auteur. Les modalités d'application du présent article, notamment les caractéristiques et les conditions de distribution des documents mentionnés au d du 3°, sont précisées par décret en Conseil d'Etat. LƓuvre composite est la propriĂ©tĂ© de l'auteur qui l'a rĂ©alisĂ©e, sous rĂ©serve des droits de l'auteur de l'Ɠuvre prĂ©existante. Article L.113-5. L'Ɠuvre collective est, sauf preuve contraire, la propriĂ©tĂ© de la personne physique ou morale sous le nom de laquelle elle est divulguĂ©e. Cette personne est investie des droits de l'auteur
Me Yoram Kouhana assiste ses clients dans la crĂ©ation, protection, valorisation et dĂ©fense de leurs actifs immatĂ©riels data, marques, brevets, logiciels, sites Internet etc.. Vous avez encore des questions ? đŸ€” Posez-les gratuitement Ă  l’un de nos coachs entrepreneuriaux. DĂšs la crĂ©ation de la sociĂ©tĂ© puis au long de son dĂ©veloppement, le dirigeant, fondateur de la sociĂ©tĂ© pourra ĂȘtre confrontĂ© Ă  des questions relatives Ă  la cession de droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle. En effet, la crĂ©ation d’une entreprise s’accompagne notamment du choix d’un nom, d’un logo soumis aux droits d’auteur, aux droits des marques et dessins et modĂšles ; d’une identitĂ© visuelle et de la crĂ©ation d’un site internet dont la charte graphique du site est protĂ©gĂ©e par les droits d’auteurs ; ou encore d’une application dont le code est soumis aux droits d’auteur... Pour crĂ©er ses Ă©lĂ©ments, le dirigeant va gĂ©nĂ©ralement se tourner vers des prestataires. Or ces crĂ©ations originales confĂšrent Ă  leurs auteurs des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle ainsi par principe ils demeurent les droits du prestataire qui en est l’auteur principe du droit d’auteur. Le principe est donc celui de l’absence de cession des droits au profit de la sociĂ©tĂ© qui a commandĂ© la crĂ©ation quelle qu’elle soit. En outre, tout au long de la vie de l’entreprise, les associĂ©s, les salariĂ©s de l’entreprise seront amenĂ©s dans le cadre de leurs missions et de leur contrat de travail Ă  crĂ©er des oeuvres par exemple, des oeuvres littĂ©raires et des photographie protĂ©gĂ©es par le droit d’auteur ou encore la conception d’un algorithme ou tout autre technologie innovante. Il est donc primordial pour le dirigeant de s’assurer que la propriĂ©tĂ© de ces Ɠuvres et les droits qui y sont attachĂ©s, lui seront entiĂšrement cĂ©dĂ©s par le prestataire, associĂ©s, salariĂ©s ou stagiaire crĂ©ateur des Ɠuvres. Ceci, d’autant plus que ces Ɠuvres originales font partie des actifs de la sociĂ©tĂ©. C’est dans ce contexte que le premier rĂ©flexe pour le dirigeant est de se tourner vers le contrat de cession. A dĂ©faut, quand bien mĂȘme la sociĂ©tĂ© aura payĂ© le prestataire pour son travail, elle commet un acte de contrefaçon puni pĂ©nalement et civilement. Le dirigeant d’entreprise doit donc s’interroger sur les modalitĂ©s du contrat de cession de propriĂ©tĂ© intellectuelle, l’exploitation des droits cĂ©dĂ©s, et la possibilitĂ© d’exploiter les Ɠuvres créées par les salariĂ©s ou stagiaires de l’entreprise. MaĂźtre Yoram Kouhana, avocat spĂ©cialisĂ© en droit de la propriĂ©tĂ© intellectuelle vous explique toutes les Ă©tapes concernant la procĂ©dure et le contexte d’une cession de droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle marque, brevet, droits d’auteur. La notion de propriĂ©tĂ© intellectuelle fait rĂ©fĂ©rence Ă  l’ensemble des droits attachĂ©s aux crĂ©ations intellectuelles qu’elles soient littĂ©raires et artistiques cela comprend notamment le droit d’auteur ou industrielles cela comprend le brevet d’invention, la marque, le nom de domaine
. Le droit de propriĂ©tĂ© intellectuelle qui encadre la crĂ©ation, garantit aux auteurs la propriĂ©tĂ© de leur Ɠuvre et une rĂ©munĂ©ration en cas d’utilisation. Cette protection est garantie par le dĂ©pĂŽt de brevets, par le rĂ©gime des droits d’auteur ou l’enregistrement des marques. 2/ Dans quels cas des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  ĂȘtre cĂ©dĂ©s ? Qui peut les cĂ©der ? Seul le titulaire des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle peut dĂ©cider de les cĂ©der pour en tirer une rĂ©munĂ©ration. Comment les cĂ©der ? Les droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle doivent ĂȘtre cĂ©dĂ©s par un contrat ou une clause contractuelle spĂ©cifique. Les droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle relatifs Ă  l’Ɠuvre ou l’invention sont cĂ©dĂ©s en contrepartie d’une somme d'argent forfaitaire ou proportionnelle au chiffre d’affaires que la cession des droits aura permis de rĂ©aliser. Quels droits sont cĂ©dĂ©s ? Pour organiser le transfert des droits, le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle prĂ©cise que chaque droit cĂ©dĂ© doit ĂȘtre mentionnĂ© et que pour chacun de ces droits, l’étendue des droits cĂ©dĂ©s et la destination du domaine d’exploitation, son lieu et la durĂ©e du transfert devront ĂȘtre prĂ©cisĂ©s article L. 131-3. 3/ Quid de la gestion individuelle contrat de cession ou licence ou collective ? La propriĂ©tĂ© intellectuelle d’une Ɠuvre peut ĂȘtre gĂ©rĂ©e selon plusieurs rĂ©gimes, en fonction du nombre d’auteurs Un seul auteur la gestion des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle est individuelle. L’auteur peut librement transfĂ©rer ses droits via un contrat de cession ou une licence. Le contrat de cession permet Ă  l’auteur de transfĂ©rer les droits contre une somme d’argent forfaitaire ou indexĂ©e sur le chiffre d’affaires dĂ©gagĂ© grĂące Ă  sa crĂ©ation. Les parties fixeront la durĂ©e de la cession, son application et Ă©ventuellement une limite gĂ©ographique. Le contrat de licence autorise l’exploitation de la crĂ©ation de l’auteur contre le versement d’une redevance, un peu Ă  la maniĂšre d’un contrat de location. Dans ce cas, l’auteur reste propriĂ©taire de ses droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle. LĂ  aussi, les parties fixeront la durĂ©e de la cession, son application et Ă©ventuellement une limite gĂ©ographique. Notez qu’on diffĂ©rencie la licence exclusive et la licence simple. Le bĂ©nĂ©ficiaire d’une licence exclusive aura la garantie d’ĂȘtre le seul Ă  pouvoir exploiter les droits qui lui auront Ă©tĂ© cĂ©dĂ©s par le contrat. PluralitĂ© d’auteurs la gestion des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle sera collective. On parle de gestion collective quand plusieurs auteurs ont participĂ© Ă  l’élaboration de l’Ɠuvre co-auteurs ou co-inventeurs mais Ă©galement quand l’Ɠuvre est exploitĂ©e collectivement. Chaque auteur ou copropriĂ©taire dĂ©tient alors une part de l’Ɠuvre dont la taille est dĂ©terminĂ©e en fonction de son investissement, de sa part inventive
 4/ Quels sont les Ă©lĂ©ments Ă  prĂ©voir dans une cession de droits d’auteur ? Comme tout contrat de cession, des mentions obligatoires doivent figurer dans un contrat de cession de droits d’auteur. Parmi les mentions obligatoires Ă  faire apparaĂźtre l’identitĂ© des parties ou de leurs signataires si elles sont reprĂ©sentĂ©es ; l’objet du contrat ; les engagements rĂ©ciproques des parties ; la rĂ©munĂ©ration ; la juridiction compĂ©tente en cas de litige sauf en cas de cession Ă  un consommateur ; la date du contrat. Les mentions spĂ©cifiques aux contrats de cession de droits d’auteur L’article du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle prĂ©voit que certaines mentions doivent figurer au contrat en l’absence de ces mentions la cession ne sera pas nĂ©cessairement invalidĂ©e mais les risques de contentieux en l’absence de ces mentions sont rĂ©els. Étendue des droits cĂ©dĂ©s il existe une multitude de droits attachĂ©s Ă  chaque Ɠuvre en fonction de sa nature le droit d’exploitation, de traduction, de reproduction, d’adaptation
 Il faut veiller Ă  englober tous les droits envisagĂ©s car le droit non cĂ©dĂ© restera la propriĂ©tĂ© de son auteur. DurĂ©e elle est fixĂ©e librement par les parties. Territoire couvert il peut ĂȘtre limitĂ© ou non Ă  un ou plusieurs pays. Domaine d’exploitation il s’agit des applications possibles de l’Ɠuvre. Pour s’assurer que tous les usages utiles sont prĂ©vus au contrat, cette clause peut ĂȘtre dĂ©taillĂ©e de maniĂšre trĂšs prĂ©cise pour viser les supports sur lesquels l’Ɠuvre est destinĂ©e Ă  figurer papier ou numĂ©rique, divulgation au public ou pour un usage privé . La clause de garantie Il est recommandĂ© d’inclure dans les contrats de cession de droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle, une clause de garantie de jouissance paisible. En effet, la sociĂ©tĂ© qui exploite les droits d’auteurs cĂ©dĂ©s cessionnaire devient responsable Ă  l’égard des tiers victimes de violations de leurs propres droits sur l’Ɠuvre, dans le cas par exemple d’une contrefaçon ou d’un plagiat. Il faudra donc veiller Ă  ce que l’auteur se porte garant contre tout recours concernant l’Ɠuvre dont il aura cĂ©dĂ© les droits. Par cette clause, le cĂ©dant garantit notamment au cessionnaire l’originalitĂ© de l'Ɠuvre, que les droits cĂ©dĂ©s ne portant pas atteinte aux droits des tiers dont le cĂ©dant aurait connaissance. Si une action en contrefaçon, parasitisme venait Ă  s’ouvrir Ă  l’encontre du cessionnaire, cette clause pourra engager le cĂ©dant Ă  collaborer de bonne foi Ă  la dĂ©fense des intĂ©rĂȘts du cessionnaire. Pour le cas oĂč une action en justice serait intentĂ©e Ă  l’encontre du cessionnaire, le cĂ©dant s’engage Ă  collaborer de bonne foi Ă  la dĂ©fense des intĂ©rĂȘts du cessionnaire en fournissant tous les Ă©lĂ©ments d’information et l’assistance nĂ©cessaire Ă  cet effet. 5/ Quid des cessions automatiques ? L'associĂ©, le stagiaire ou le prestataire ne cĂšdent jamais automatiquement leurs droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle sur les crĂ©ations. Ainsi, en l'absence de cession expresse, les droits ne sont en principe cĂ©dĂ©s automatiquement au profit de la sociĂ©tĂ© sauf exceptions. En effet, nous l’avons vu, par principe les cessions sont encadrĂ©es par des contrats, des actes de cessions. Mais dans certains cas, les cessions peuvent sous conditions ĂȘtre automatiques, notamment s’agissant de cession par les salariĂ©s au profit de la sociĂ©tĂ©. Les cessions de droits des fondateurs non-salariĂ©s La cession des droits Ă  la sociĂ©tĂ© n’est jamais automatique lorsque la crĂ©ation est le fait d’un fondateur non salariĂ©. Il faudra donc toujours prĂ©voir un contrat de cession portant sur les droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle attention, une clause spĂ©cifique dans un pacte d’associĂ©s / pacte d’actionnaires n’emportera pas cession des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle. MĂȘme pour les salariĂ©s, il y a deux cas automatiques mais sous conditions Ă  expliciter brevet, logiciel et oeuvre collective, et mĂȘme lĂ  par prĂ©caution on insĂšre des clauses dĂ©taillĂ©es dans les contrats de travail pour limiter les risques de conflits. Les cessions de droits des salariĂ©s Selon une Ă©tude menĂ©e par l’INPI, 90% des inventions brevetĂ©es sont le fait de salariĂ©s. Il faut en ĂȘtre conscient pour prĂ©voir une cession de droits adĂ©quate. Le transfert des droits Ă  la sociĂ©tĂ© pour les crĂ©ations des salariĂ©s peut parfois ĂȘtre automatique, en fonction de la nature des Ɠuvres. Les logiciels les droits attachĂ©s aux logiciels créés dans le cadre des missions du salariĂ©s, sont automatiquement transfĂ©rĂ©s Ă  l’entreprise, sauf si le contrat de travail prĂ©voit le contraire article du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Attention il s’agit uniquement des logiciels et non de leur partie graphique qui est soumise au droit d’auteur voir-ci-dessous. Les droits d’auteur hors logiciel ils ne sont jamais cĂ©dĂ©s automatiquement et doivent donc faire l’objet d’une cession de droit d’auteur soit par un contrat soit par une clause prĂ©vue dans le contrat de travail. Les inventions brevetables qui doivent ĂȘtre sĂ©parĂ©es en 3 catĂ©gories Les inventions de mission ce sont des inventions brevetables créées dans le cadre de la mission confiĂ©e au salariĂ© elles sont automatiquement transfĂ©rĂ©es Ă  l’employeur. Par exemple, un ingĂ©nieur de recherche qui dĂ©veloppe une crĂ©ation pour laquelle il a Ă©tĂ© employĂ© verra ses droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle automatiquement transfĂ©rĂ©s Ă  l’employeur. Les inventions hors mission attribuables ce sont des inventions brevetables, dĂ©veloppĂ©es en dehors du cadre de la mission du salariĂ© mais soit avec les moyens propres de l’entreprise soit en lien avec l’activitĂ© de l’entreprise. Les droits qui y sont attachĂ©s doivent faire l’objet d’une licence d’exploitation contre rĂ©munĂ©ration spĂ©ciale. Les inventions hors mission non attribuables sont les inventions sans rapport avec l’entreprise et rĂ©alisĂ©es avec les moyens propres de l’auteur. Elles restent l’entiĂšre propriĂ©tĂ© de l’auteur. Les oeuvres collectives elles sont dĂ©finies Ă  l’article L113-2 du Code de la PropriĂ©tĂ© Intellectuelle Est dite collective l’Ɠuvre créée sur l’initiative d’une personne physique ou morale qui l’édite, la publie et la divulgue sous sa direction et son nom et dans laquelle la contribution personnelle des divers auteurs participant Ă  son Ă©laboration se fond dans l’ensemble en vue duquel elle est conçue, sans qu’il soit possible d’attribuer Ă  chacun d’eux un droit distinct sur l’ensemble rĂ©alisĂ©". Les critĂšres permettant de qualifier l'Ɠuvre collective se reposent sur le niveau d’autonomie du salariĂ© lors de la crĂ©ation de l'Ɠuvre. Ainsi, si le travail s’inscrit dans un cadre contraignant de subordination, obligeant le salariĂ© Ă  se conformer Ă  des instructions de la part du supĂ©rieur hiĂ©rarchique et Ă  suivre les rĂšgles d’esthĂ©tisme de l’entreprise, tout en dĂ©voilant l’oeuvre sous le nom de l’employeur, alors les juges reconnaitront l’absence de d’autonomie du salariĂ©. Mais cela ne suffit pas toujours Ă  prouver l’absence d’autonomie du salariĂ©. Afin d’assurer Ă  l’employeur la propriĂ©tĂ© des droits attachĂ©s aux Ɠuvres collectives créées par ses employĂ©s, il est frĂ©quent d’insĂ©rer des clauses dĂ©taillĂ©es dans le contrat de travail selon lesquelles les Ɠuvres du salariĂ©s sont des Ɠuvres collectives et appartiennent de fait Ă  la sociĂ©tĂ© par exception Ă  l’article L111-1 du CPI qui Ă©nonce que “L'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa crĂ©ation, d'un droit de propriĂ©tĂ© incorporelle exclusif et opposable Ă  tous”. Ceci limite les risques de conflits pour l’employeur. Les cessions de droit des stagiaires Les droits liĂ©s aux crĂ©ations des stagiaires ne sont jamais transfĂ©rĂ©s automatiquement. En fonction de la mission du stagiaire il faudra donc prĂ©voir une clause de cession dans la convention de stage qui pourra ĂȘtre confirmĂ©e par la signature d’un document Ă  la fin du stage. 6/ L’importance de se faire accompagner par un avocat PrĂ©voir la cession de droits le plus tĂŽt possible Lorsqu’une sociĂ©tĂ© fait appel Ă  des salariĂ©s ou des prestataires pour des projets d'innovation, il est indispensable de prĂ©voir une clause relative aux droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle afin de dĂ©limiter trĂšs prĂ©cisĂ©ment les contours de la cession sur la crĂ©ation future. Il faudra veiller Ă  ce que le contrat soit conclu avant toute prestation, au risque sinon que les droits concernant ces prestations ne fassent pas partie du contrat ultĂ©rieur. Cela engendrerait un risque de contentieux rĂ©el. Renouveler la cession des droits Comme il n’est pas possible de cĂ©der ses droits de maniĂšre globale pour toute crĂ©ation future du Code de propriĂ©tĂ© intellectuelle, il faudra veiller Ă  ce que la cession des droits soit rĂ©guliĂšrement renouvelĂ©e par le fondateur non salariĂ© ou le salariĂ© amenĂ© Ă  travailler sur plusieurs projets de crĂ©ation au cours de son mandat ou de son emploi. Toute violation d’un droit de propriĂ©tĂ© intellectuelle est une contrefaçon qui donne le droit au titulaire des droits, ou selon les cas au bĂ©nĂ©ficiaire de la cession ou du contrat de licence, d’engager une action en responsabilitĂ© au civil ou au pĂ©nal contre le contrefacteur. Celui qui agit en violation des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle pourra voir les objets issus de la contrefaçon saisis ou dĂ©truits dans certains cas. Lorsque la contrefaçon porte sur des biens non matĂ©riels comme un logo, une identitĂ© visuelle
, le contrefacteur sera condamnĂ© Ă  des dommages et intĂ©rĂȘts. *** Le transfert de droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle est une opĂ©ration complexe qui nĂ©cessite une parfaite comprĂ©hension Ă  la fois des termes juridiques et du vocabulaire technique employĂ© dans le domaine d’activitĂ© concernĂ© par la cession. Il est trĂšs important d’assurer un arsenal juridique solide. Ceci est d’autant plus important qu’en cas d’audit de la sociĂ©tĂ© en cas de levĂ©e de fonds ou de rachat, etc., la propriĂ©tĂ© des actifs soit bien sĂ©curisĂ©e par des contrats et clauses solides afin de rassurer les investisseurs et acheteurs potentiels. Ainsi, confier la gestion de vos droits de propriĂ©tĂ© intellectuelles et la rĂ©daction d’un contrat de cession des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle Ă  un avocat spĂ©cialisĂ© vous permettra de bĂ©nĂ©ficier de conseils stratĂ©giques pour vous assurer le transfert effectif des droits relatifs aux crĂ©ations des tiers ou salariĂ©s pour les besoins de l’entreprise et ainsi valoriser les actifs de votre sociĂ©tĂ©.
. 465 151 53 474 392 218 395 407

article l 113 5 code de la propriété intellectuelle